Dominé Par La Babysitter (2) - La Maison De Velours [ I ]
Quand je rentre enfin du motel, tout l'appartement est silencieux. Ma femme ne rentre que demain et mon fils dort à poings fermés. Je me laisse tomber sur le canapé, épuisé et confus. L'excitation et le plaisir laissent peu place au doute, et je me met à imaginer toutes les conséquences que cette nuit avec Alice peut provoquer dans ma vie.
J'étais à mille lieues d'imaginer tout ce qui m'attendait.
Lorsque ma femme est rentrée le dimanche après-midi, j'ai joué le jeu du mieux que j'ai pu. Elle aurait sûrement tout découvert si toute cette histoire s'était déroulée au tout début de notre couple. Mais elle n'y a vu que du feu. La chose la plus compliquée a été de lui cacher les marques de griffures qui strient mon torse. Un vieux sweat-shirt zippé jusqu'au col a fait l'affaire.
Malgré la culpabilité que je ressens pour avoir trompé ma femme, et la peur qu'elle le découvre, je me surprends presque malgré moi à repenser aux événements de la nuit dernière. Quand je caresse du bout des doigts mes griffures, un frisson me parcourt le dos et mon sexe durcit presque malgré moi.
Avant cette nuit, ma dernière partie de sexe remonte à plusieurs mois déjà, et j'en garde le souvenir d'un missionnaire somme toute assez banal. La libido de Veronica est tombée à zéro pendant sa grossesse, et elle n'est jamais remontée. Je calme la mienne par plusieurs séances de masturbation hebdomadaires.
J'attends le samedi soir avec une impatience mêlée d'appréhension. Je n'ai raconté à personne ce qui s'est passé, pas meme a mes collègues ou mes amis. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'intuition que je dois garder ca pour moi. Sûrement parce qu'elle n'a que 17 ans et que je risque la prison.
Pour la première fois depuis que nous faisons appel aux services d'Alice, je suis prêt depuis presque une heure quand elle sonne à la porte. La main sur la poignée, je prends une grande inspiration. Je ne peux pas prendre le risque que mon fils Aiden nous entende parler de quoi que ce soit et le répète à sa mère avec l'innocence qu'ont les s.
"Bonjour monsieur Adams ! Je m'occupe de tout, à plus tard !"
Elle me pousse pratiquement dehors et ferme la porte derrière moi avec un petit rire in. L'inquiétude est toujours présente en moi. Je me rends au club et je passe une soirée à faire semblant d'être normal alors qu'elle est ma seule préoccupation. Je prétexte un mal de tête pour couper court aux discussions et rentrer chez moi le plus vite possible.
J'ouvre la porte en me demandant à quelle sauce je vais être mangé. Alice m'attend, tranquillement assise dans le canapé. Je m'approche d'elle et commence à m'assoir à mon tour.
"Stop."
Je reste figé dans l'air, à moitié assis, attendant de comprendre ce qu'elle me veut.
"A genoux."
Je me relève et lui fais face.
"Non Alice. Ecoute, j'ai fait une erreur, mais je..."
Sans que je ne puisse rien faire, elle s'est levé et m'a frappé juste derrière les rotules, me faisant perdre l'équilibre et tomber à genoux sur le tapis. Alice passe derrière moi à une vitesse folle et son bras entoure mon cou tandis qu'elle presse ses lèvres contre mon oreille.
"C'est toi qui écoutes. Tu m'as fait une promesse la dernière fois, et je tiens à ce que tu la respectes. Il va falloir que tu comprenne que ce n'est pas toi qui décide, Neal. "
Sa main libre glisse le long de mon torse et agrippe mon sexe à travers mon pantalon.
"Tu va m'emmener à l'hôtel. A partir de maintenant, tu m'obéis. A moins que tu ne veuilles que ton patron et ta femme sachent que tu baises une gamine ?"
Elle relâche sa prise sur mon cou et j'inspire une grande bouffée d'air.
"Personne ne te croira, Alice. Il vaut mieux qu'on en reste là, crois moi.
Elle éclate de rire et lâche mon entrejambe pour sortir son portable de la poche arrière de son jean. Elle lance une vidéo qu'elle me met sous le nez. Je nous vois entrer dans la chambre d'hôtel, puis commencer nos ébats de la semaine dernière. Mon sang se glace et je comprends que je suis piégé.
"Alors ? Qu'est ce que tu choisis ?"
Tout un tas de questions se bousculent dans ma tête, mais je n'ai ni le temps ni la possibilité de les poser. Il faut que je temporise, pour réfléchir à tout ça plus tard.
"D'accord, d'accord ! Laisse moi me relever, je t'emmène à l'hôtel."
Elle me tapote la joue.
"Bon chien. Et n'oublie pas mon salaire."
Je me relève péniblement tout en retrouvant mon souffle et je lui tends ses billets. Alice les compte rapidement, puis affiche une mine boudeuse.
"Il y a méprise. Mes tarifs ont monté, Neal. Ca sera cent dollars, aujourd'hui."
Je secoue la tête en lui donnant sa monnaie.
"Parfait. Maintenant, dépêchons nous avant que ta femme ne rentre ou que ton fils se réveille."
Je la suis et nous montons dans la voiture. Contrairement à d'habitude, elle monte à l'arrière. Je ne m'en préoccupe pas et commence à rouler. Après quelques mètres, des gémissements montent dans l'habitacle. Je jette un coup d'oeil au rétroviseur. Alice a quitté son jean et elle est en train de se caresser, les jambes grandes ouvertes. Nos regards se croisent et mon sexe se réveille à nouveau.
"Regarde la route, Neal. Je ne veux pas d'accident."
Je lui obéis, tout en étant troublé par les halètements et les petits cris qu'elle pousse quand elle jouit. Elle a le temps d'avoir deux orgasmes avant que je ne me gare sur le parking de l'hôtel. Je suis dur comme jamais et je me retourne, espérant qu'elle soit toujours dans la même position, mais elle s'est rhabillée discrètement et affiche un sourire en coin.
"Qu'est ce qu'il y a, Neal ? Tu voulais voir quelque chose ? Allez, on va dans la chambre.
Je ne sais pas comment, mais elle a déjà la clé de la chambre dans la main. Je grimpe les escaliers derrière elle, inquiet de la tournure que prennent les événements. Elle me fait rentrer et verrouille derrière elle. Elle me pousse ensuite sur le lit, sur lequel je m'assied.
"Bien, voilà ce qu'on va faire ce soir. Pour commencer, tu va aller prendre une douche. Tu va te débarasser de tous les poils de ta jolie queue. J'ai déjà préparé tout ce qu'il faut dans la salle de bain. Ensuite, tu enfilera ce qui se trouve dans le colis qui est près du lavabo. Quand tu auras fini, mets toi à genoux et appelle moi. A partir de maintenant, tu n'as plus le droit de me tutoyer. Tu m'appelles Mademoiselle Alice, Maîtresse Alice, ou juste maîtresse ou mademoiselle. C'est bien clair ?"
"Oui."
Elle me gifle. Sa main claque sur ma joue et je pousse un grognement de douleur.
"Oui qui ?"
Je la regarde, mâchoires serrées.
"Oui, mademoiselle."
"Je préfère ça. Maintenant, va faire ce que je t'ai demandé."
Je m'exécute. Une fois ma douche prise et mes poils disparus, j'ouvre le colis. Il ne contient qu'un collier en cuir avec un petit anneau en métal pour y faire passer une laisse. Je l'enfile malgré moi et je me mets à genoux.
"Je... Je suis prêt. Mademoiselle."
J'ai failli oublier. Je n'ai aucune envie de prendre une autre claque, et encore moins de voir ma vie détruite, alors je me plie à ses exigences. Pour le moment. Je l'entends approcher à travers la porte de la salle de bain.
"Ferme les yeux. Et tu as intérêt à ne pas tricher."
J'obtempère. J'entends la porte s'ouvrir et Alice rentrer. Elle touche mon collier. Un petit bruit de métal me fait comprendre qu'elle y a attaché une laisse. Elle rajoute également un bandeau sur mes yeux, qu'elle noue en passant dans mon dos. Je sens son haleine chaude sur ma nuque et mon sexe gonfle par réflexe.
"Pas mal, tu as bien obéi. Suis moi."
Elle tire sur mon collier et je commence à me relever quand quelque chose claque sur mon flanc.
"A quatre pattes ! Comme le chien que tu es."
Je baisse la tête et je la suis. Je n'ai jamais été aussi humilié de ma vie. Alice me fait me mettre à genoux devant le lit.
"Fais le beau et ouvre la bouche, chien."
Je m'éxécute. Elle pose dans ma main l'extrémité de la laisse et glisse dans ma bouche un objet que j'identifie comme étant une cravache. C'est sûrement avec ça qu'elle m'a frappé.
"Bien. Tu assimiles rapidement. Je devrais pouvoir faire de toi un bon petit chien bien obéissant. Tu veux être mon chien, Neal ?"
Je ne sais pas quoi lui répondre, d'autant plus que j'ai la cravache entre les dents et que je ne veux pas la faire tomber. Alice se baisse et att mes testicules rendues sensibles par le rasage. Elle les prend dans sa paume et serre. Je me cabre sous l'effet de la douleur.
"Réponds moi Neal ! Est ce que tu veux que je fasse de toi mon chien ?"
Je réponds en gardant les mâchoires serrées pour ne pas faire tomber la cravache.
"Oui maîtresse !"
Elle tire mes testicules vers le bas, comme si elle voulait me les arracher.
"Supplie moi !"
La douleur est insupportable et mon corps se tord dans tous les sens.
"Je vous en prie, faites de moi votre chien !"
Elle lâche tout et je me plie en deux sur le sol. La cravache tombe de ma bouche. Alice éclate de rire.
"Très bien, puisque tu me le demandes, je vais faire de toi mon chien. Monte sur le lit."
Je lui obéis, toujours à quatre pattes, malgré la douleur qui irradie de mon bas-ventre. Alice m'allonge sur le dos, puis écarte mes bras. J'entends un cliquetis et je sens des bracelets froids se refermer autour de mes poignets. Mes jambes subissent le même sort, et je me retrouve à la merci totale de ma babysitter, écartelé sur ce lit. Soudainement, je sens son corps se coller au mien. Ses lèvres se collent au miennes et sa langue envahit ma bouche. Je réponds à ce baiser avec passion, mais Alice maintient ma tête contre l'oreiller et me mord doucement la lèvre.
"Ne bouge pas et laisse toi faire."
Elle descend le long de mon corps, ses lèvres déposant des baisers dans mon cou, sur mon torse, puis mon ventre. Alice s'assied entre mes jambes et pose doucement sa main sur mes testicules meurtries.
"Je vais en prendre soin, ne t'en fais pas. Je n'aime pas te punir, tu sais, mais tu m'y pousses."
Je sens sa paume se glisser en dessous, les soupesant, tandis qu'elle dépose dessus quelques baisers. La douleur commence à être remplacée par un ardent désir et ma verge est bien raide après seulement quelques secondes de ce traitement. Alice le remarque et rit doucement. Sa langue vient remonter le long de mon sexe, puis je sens mon bandeau être arraché. Je suis ébloui un court instant par la lumière.
Alice grimpe sur moi. Elle me caresse les cheveux d'un air rêveur.
"Dis moi, chien, la dernière fois tu n'as pas eu le plaisir de me prendre. Ca te plairait qu'on le fasse maintenant ?"
Je ne réfléchis même pas.
"Ca me plairait beaucoup, mademoiselle."
Elle sourit.
"Très bien. Commence par lécher mes seins."
Elle place ces derniers à quelques centimètres de ma bouche et je m'empresse de lui obéir, mais au moment où ma langue va atteindre son téton gauche, elle le soulève pour le mettre hors de portée. J'ai beau avancer mon cou le plus loin possible, la langue tendue, rien à faire. Elle me plaque à nouveau la tête contre l'oreiller.
"Eh bien ? Lèche mes seins, j'ai dit."
Je tente à nouveau, mais elle recommence son petit manège. Je gémis de frustration, ce qui l'amuse beaucoup.
"Alors ? Tu ne veux pas m'obéir ? Tant pis pour toi."
Elle se redresse et s'assied sur mon torse.
"Il va falloir que tu attendes que j'ai fini de me faire du bien, alors."
Elle écarte les jambes et commence à se caresser. J'ai l'impression que mon sexe va exploser tant il est dur. Je tire sur mes menottes dans l'espoir qu'elles cèdent, mais elles sont solides. Alice est déjà bien mouillée, et elle ne met que quelques minutes à jouir à nouveau, se cambrant en arrière dans un cri de plaisir. Elle reprend ses esprits, replace une mèche de cheveux derrière son oreille, puis se remet dans sa position initiale.
"Dernière chance, Neal. Lèche mes seins."
Cette fois je bondis avant même qu'elle ait fini sa phrase, attrapant un téton entre mes lèvres. Elle ne s'y attendait pas et se tortille en gémissant. Craignant une punition, je libère son téton à regret. Il est à présent bien dur. Alice me présente l'autre.
"Celui là aussi."
Cette fois, elle me laisse faire. Ma langue s'enroule autour, le faisant pointer, puis je le tète un peu avant de la laisser à nouveau partir.
"Pas mal. Tu as peut-être mérité de me pénétrer, après tout."
Elle se recule, chevauchant mon sexe, le caressant de tout son long avec sa chatte, le laissant humide et luisant. Je n'ai pas débandé depuis tout à l'heure et chaque passage provoque un frisson de plaisir. Alice glisse une main entre ses jambes et empoigne mon sexe à la base. Je la sens le positionner à l'entrée de son vagin. Mon gland palpite.
"Tu sais ce que tu as à faire. Supplie moi."
Je ne me fais pas prier.
"S'il vous plaît, maîtresse, laissez moi vous prendre. Je ferais tout ce que vous me direz de faire, je vous en prie. J'ai tellement envie de vous que..."
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'elle s'empale sur mon sexe en érection, et mes mots se perdent en un bref cri de surprise et de plaisir. Mais Alice ne me laisse aucun répit et me chevauche énergiquement, sa croupe montant et descendant à tout vitesse sur ma queue. Je sens que mon orgasme commence à monter et tout mon corps se cambre pour m'enfoncer plus profondément en elle, mais elle soulève ses hanches et se met hors de ma portée.
"Oh non, je ne crois pas, chien. Hors de question que je te laisse jouir avant moi. Je te préviens que si tu gicles, tu auras droit à une punition exemplaire. C'est compris ?"
Je hoche la tête. Alice abat ses deux paumes sur mes pectoraux, y laissant deux traces de mains rouges et brûlantes.
"Pardon ?"
"Oui maîtresse Alice !"
Son visage se fend d'un sourire cruel.
"Très bien."
Elle se remet en position et je sens l'entrée de son sexe entourer le bout de ma verge, mais elle ne descend pas plus bas. Je reste patient quelques secondes, puis, n'y tenant plus, je donne un grand coup de reins et je la pénètre jusqu'à la garde. Elle pousse un petit cri de surprise et m'administre une petite claque, mais elle reprend ses mouvements de va et vient le long de ma queue, de plus en plus vite et de plus en plus fort. J'essaye de penser au travail dans l'espoir de réussir à tenir plus longtemps, en vain. Alice me baise sans pitié et je finis par me répandre en elle en gémissant. Elle me laisse faire, mais elle me gifle dès que je suis sorti d'elle. Fort.
"Tu l'auras voulu, sale chien. Tu va avoir droit à une punition exemplaire."
Elle me remet le bandeau de force sur les yeux. Je l'entends se relever et farfouiller dans la pièce, puis la porte claque. La clé tourne dans la serrure et je n'entends plus que le silence lourd qui s'installe dans la chambre. Je l'appelle en vain. Elle m'a enfermé dans la pièce, attaché au lit, complètement nu.
La nuit va être longue.
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